Toi, ô femme qui manie les lettres, la muse de mes journées pleines qui éveille mes rêves. Quand on perd l'équilibre, il y a toujours une femme pour prendre la relève, gangrené par la haine que je noyais dans l'artère. Je me voyais renoncer, il peut suffire d'un peu, la goutte fait déborder mes yeux mais je te rassure: je suis heureux. Affronter la dureté avant de connaitre les moments de répits, j'aurais pu changer de bord sur le voilier, puis j'ai croisé cette femme sur cette île et je m'y suis senti en paix. Il ne peut exister de diadème sans reine, or j'ai trouvé la mienne et je m'en remets à elle.
